…«DSK : Du viol avec «consentement» au plaisir sans «complaisance

Engager DSK avec mission de promouvoir l’économie tunisienne, est semblable (et même identique) à l’engagement du meilleur braconnier au titre de «garde champêtre».

On sera certains d’une chose : Il sera le seul à braconner…

Solution idéale certes, au temps de la morale qui stagne et du crime qui court. Le Monsieur porte derrière lui (ou plutôt devant) une «réputation» (sulfureuse). Il tire (réellement il tire) sur toute «chose qui bouge». De la «féminité» qui plaise, à la «masculinité» qui rapporte (selon ses «vilains» détracteurs)….

Qu’importe les radotages des vieilles marmites, tant (notre) DSK (national) aime bien les jeunes casseroles et même peut les «prendre» en «série», ou même en «parallèle». La posture importe peu, tant le pays, comme celui «qui venu prendre son économie» (en main) jouissent du bout qu’il faut….

Ne soyons nullement moraliste, une économie stérile à l’image de l’économie tunisienne n’a nullement besoin d’une «nonne» (moraliste) ou d’un autre «sacristain» (bonimenteur), mais plutôt d’un coq fertilisateur ou d’un étalon en érection….

L’action l’emporte sur la morale, et l’efficacité sur l’immobilisme. Du constat amer, on veut bien «sauter» au rêve enchanteur. (Notre) DSK (national) est bien la personne (bien cité) pour «sauter» tout un pays et toute une économie, avec les «rebelote» qu’il faut, tant la mission est bien claire, et tant les «voyeurs» sont bien là, pour garantir aussi bien le bon spectacle qu’un accouchement (économique, il va de soi) qui ne peut engendrer que la bonne progéniture….

La «marieuse» ou plutôt le «marieur» qui a bien voulu offrir la Tunisie ainsi que son économie, à ce «fougueux» ne peut s’en tenir qu’à ce qui accable bien cette économie, mais plutôt à ces «promesses» (futures), tant la «détresse» (actuelle) est à classer pour un «public averti»….

DSK, illustre économiste, qui a à son actif une génération d’économistes et disciples, ne peut plus prétendre à cette «fertilité», qui a fait sa renommée et surtout ce titre de «baiSSeur» (avec un seul ou deux «s») du chômage, car il joue bien de sa renommée (ancestrale) et nullement de son endurance (actuelle)…

Soyons clairs, pour être sereins, le choix de cet «étalon» s’est fait par éliminations des autres concurrents et nullement pour ses prouesses prouvées et avérées. Car au regard de son parcourt, il a fait son «passage de désert» (chez lui en France), pour chercher à prouver ses compétences au contact de la «chaleur» (locale)

Qu’importe le résultat, personne n’espère voir naitre des divinités de ce croisement de «chimères» ou imaginer une migration de l’Olympe du FMI en Tunisie, sauf gagner du temps pour le pays, et faire profiter ce gentil étalon d’un plaisir qu’il lui a tant manqué….